« J’ai transmis au rapporteur 92 pages dont les données proviennent de la HAS, de l’ANSM, de l’Agence européenne des médicaments et de l’Igas. Sur le site de l’ANSM du 26 avril 2022 il est indiqué que la composition du vaccin Cominarty utilisé actuellement n’est pas la même qui a fait l’objet d’une étude randomisée et a reçu l’AMM dérogatoire d’urgence. On reste en attente d’informations complémentaires sur la composition du vaccin. On reste également en attente d’information sur le rapport bénéfice risque, qui ne peut être démontré qu’en présence de bénéfice. Or, depuis décembre 2020, date du lancement de la campagne de vaccination, la preuve n’a pas été donnée de l’efficacité du vaccin sur les formes graves et la transmission virale. Le rapport, étant donné qu’il s’agit de personnes en bonne santé, est forcément défavorable. On a oublié d’informer les gens que l’essai clinique était toujours en cours et qu’il s’agissait d’un produit expérimental. »
Malgré l’absence de données, on a injecté ce produit, y compris aux plus de 75 ans, aux immuno-déprimés, aux femmes enceintes, aux femmes qui allaitent, aux enfants. Le 21 avril 2021 on reçoit un mail de la DGS urgent qui nous demande de prescrire trois doses chez les immuno-déprimés. Or dans les documents de Pfizer pour l’AMM conditionnelle, cette population figure dans une mise en garde spéciale. Il s’agit donc d’une mauvaise pratique. L’urgence ne justifie pas tout. On n’exige pas autant précautions pour les vaccins que pour les vieilles molécules comme l’hydroxychloroquine. »
L’ANSM depuis janvier 2021 lors d’un décès : aucun effet immédiat indésirable n’est intervenu. Phrase suivante : deux heures après l’injection le décès est intervenu…
Pfizer a recommandé lors de l’AMM un délai pour le deuxième vaccin de 21 jours après le premier. L’ANSM a recommandé 42 jours, suivie par la HAS. L’Académie de médecine a rappelé les risques d’un tel délai entre les deux injections (apparition d’anticorps facilitants, variants résistants).
Selon le code de santé publique, le consentement libre et éclairé est une liberté fondamentale. Le respect de la dignité de la personne humaine repose sur le respect de l’autonomie de la volonté qui, avec le respect du secret médical, constitue la relation de confiance entre le médecin et le malade. Un essai clinique dissimulé porte atteinte à la personne humaine. Intégrer des gens dans un essai clinique de force, par une loi les mettant hors de la société sans instruction judiciaire, nous a propulsés un siècle en arrière dans le domaine du droit du travail.
Le Média en 4-4-2.