Jean-Jacques Crèvecoeur a été impliqué dans la réalisation du documentaire, offrant son expertise en cinéma et en psychologie pour soutenir les survivantes. Il a passé des heures à discuter avec ces femmes, cherchant à déceler la vérité dans leurs récits. Selon lui, l’authenticité de leurs témoignages est indéniable, malgré les critiques qui prétendent que ces souvenirs pourraient être faux.
Il souligne que les survivantes ont souvent été victimes d’amnésie traumatique, un phénomène reconnu par la psychologie. Les souvenirs de leurs abus resurgissent souvent de manière spontanée, sans intervention thérapeutique. Il critique également les thérapeutes qui, par peur ou déni, refusent de croire aux récits des survivantes. Selon lui, ces professionnels sont souvent eux-mêmes victimes de la « fatigue vicariante », un épuisement émotionnel lié à l’écoute de traumatismes.
Pas encore de commentaire sur "Dans l’enfer des réseaux pédo-satanistes – Jean-Jacques Crèvecoeur et Rachid Achachi"