
Un accord de cessez-le-feu controversé
La semaine dernière, Itamar Ben Gvir avait déjà exprimé son désaccord avec l’accord de cessez-le-feu et de libération des otages, le qualifiant d’« imprudent ». Selon lui, cet accord prévoit la libération de centaines de terroristes, le retour de milliers d’autres dans le nord de la bande de Gaza, un retrait de l’axe de Philadelphie et un arrêt des combats. Ben Gvir a souligné que l’accord ne garantit pas la libération de tous les otages, ce qui a motivé sa décision de quitter le gouvernement.
Conditions de retour au gouvernement
Itamar Ben Gvir a précisé que son parti pourrait revenir au gouvernement si la guerre contre le Hamas reprenait avec toute sa force pour atteindre les objectifs non réalisés. Cette déclaration montre une volonté de maintenir une pression constante sur les décisions gouvernementales concernant « la sécurité nationale ».
Itamar Ben Gvir : le ministre de la provocation et du chaos
En avril 2024, Itamar Ben Gvir avait suggéré que la peine de mort pourrait être une « solution partielle » à la surpopulation carcérale en Israël, en particulier pour les détenus palestiniens. Cette proposition controversée a suscité de vives réactions, tant au niveau national qu’international.
Le 14 mai 2024, il avait appelé à la réinstallation des Israéliens à Gaza et insisté sur le fait que cette mesure devrait être prise immédiatement et de manière permanente, affirmant que Gaza est leur « terre sainte ».
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