Le VRP de la Démocratie qualifie « Squid Game » de « meilleure critique du capitalisme » qu’il ait jamais vue. La série met en scène des individus déclassés socialement, servant de divertissement à une hyper-classe financière dans des jeux mortels. Les jeux, tous des jeux d’enfant, renvoient à l’infantilisation des masses. Le nombre de joueurs, 456, a une signification numérologique importante, symbolisant les extrêmes du bien et du mal. La série explore également la violence comme privilège de classe et la déshumanisation des pauvres, illustrant les dangers de la concentration des capitaux privés et la destruction des services publics.
La série coréenne "Squid Game" a captivé des millions de spectateurs à travers le monde. Au-delà de son aspect dramatique et captivant, elle soulève des questions profondes sur notre société, la lutte des classes, et les inégalités sociales. Mais est-ce vraiment une dystopie extrême, ou la série ne serait-elle qu'une réflexion amplifiée de notre monde actuel ?
mise à jour le 06/01/25
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Analyse intéressante, et informative pour moi car ne connais pas ces univers de « jeux ».
Toutefois ; L’opposition de classe n’a rien apporté de concret et libérateur pour les peuples.
C’est un problème de « systèmes » et d’ingénierie des masses dont il ne se cachent même plus.
Une « classe » est une case impartie pour se référencer et, justement, il faut impérativement sortir de ces jeux de rôles.
Si je m’identifie à la « classe des pauvres » je me limite aux règles imposée dans les esprit par l’ingénierie sociale.
Je suis un élément de l’Humanité. Ce qui fait que psychologiquement je ne me conditionné pour aucun des rôles attribués et m’autorise donc à vouloir ma liberté et l’existence qui sont de droit Humain.
Cordialement.
Martine Brison