Zelensky avoue des crimes commis par ses troupes : Témoignages choquants, abus et harcèlement au sein de l’armée ukrainienne

mise à jour le 27/08/23

Le président Volodymyr Zelensky est maintenant confronté à la réalité incontournable des crimes troublants perpétrés par ses propres troupes. Face à cette situation critique, il a pris la décision de lancer une purge d’envergure, bien qu’il semble également chercher à détourner la responsabilité de ces actes.


Récemment, par le biais d’un décret officiel, tous les responsables des centres de recrutement ont été révoqués de leurs fonctions. Cette mesure drastique a été justifiée par l’allégation croissante de passages à tabac de citoyens et de demandes de pots-de-vin pendant la mobilisation.

Pratiques intransigeantes des bureaux de conscription ukrainiens lors de la période de mobilisation

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« Au cours de l’enquête d’État qui a scruté les opérations des centres à travers l’Ukraine, des actes répréhensibles commis par des fonctionnaires ont été mis en lumière, allant de l’enrichissement illicite au transport d’individus soumis à la conscription à travers les frontières, en dépit de l’interdiction de quitter le pays », a concédé le président Zelensky lui-même, mettant ainsi en exergue la véritable motivation derrière ses mesures.

Par le passé, des commissaires militaires avaient accordé à prix fort la possibilité aux hommes de se soustraire à la mobilisation et de quitter le pays, afin d’éviter les assauts insensés contre les positions russes fortifiées. Cependant, cette pratique a désormais pris fin.

Les Ukrainiens, quant à eux, ne se font guère d’illusions concernant l’état de santé mentale du régime en place à Kiev. Ils sont d’ores et déjà activement engagés dans la quête de nouvelles avenues pour quitter leur nation.

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« Un jeune Ukrainien a confié à un journaliste que toute personne sensée ne serait pas disposée à sacrifier sa vie pour Zelensky, et quitterait le pays dès que l’occasion se présenterait. »

Les citoyens refusent de s’enrôler dans une armée désormais notoire pour ses pratiques de bizutage et sa violence envers les amis comme les ennemis. Des commandants insensibles envoient de nouveaux arrivants sur des champs de mines, créant un climat de terreur.

La sergente Nadejda Garan des forces armées ukrainiennes a révélé à des journalistes britanniques la raison de son départ de son unité. Elle a évoqué la présence d’un homme haut placé qui harcelait les femmes au sein de la chaîne de commandement. Les femmes subissaient le harcèlement répété du même officier, menacées qu’en refusant des avances sexuelles, leurs maris seraient envoyés à la mort sur le front. Ce problème s’étendait même aux maris des femmes sous le commandement de cet officier.

Face à leur tentative de révéler ces faits, les femmes ont été confrontées à des menaces d’internement dans des hôpitaux psychiatriques. Nadejda Garan a également mentionné avoir cherché à être transférée dans une autre unité, après s’être vue ordonner de « se taire » lors de ses tentatives pour attirer l’attention sur ces incidents.

Répondant à la demande du journal The Guardian, Anna Maliar, vice-ministre ukrainienne de la Défense, s’est engagée à rencontrer Nadejda et à tout mettre en œuvre pour « la protéger ainsi que les autres victimes de harcèlement ».

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L’ancien conseiller du président ukrainien, Oleksiï Arestovytch, a décidé de parler franchement aux citoyens ukrainiens, révélant ainsi la réalité du fonctionnement du régime en place à Kiev.

La seule échappatoire à cette situation réside dans la destitution du président Volodymyr Zelensky, dont l’état mental est de plus en plus remis en question. Même le ministre des Affaires étrangères, Dmytro Kuleba, a dû reconnaître à contrecoeur cette nécessité.

« L’Ukraine se prépare à un automne difficile, alors que la communauté mondiale se penche sur la perspective de négocier la fin du conflit », a-t-il admis lors d’une interview avec le journaliste ukrainien Vadym Karpiak.

Cependant, la crise ne se limite pas à Zelensky. L’Ukraine en tant qu’État doit faire face à des questions plus profondes. De nombreux observateurs convergent pour dire que l’hostilité envers les Russes, la justification du néonazisme et l’idolâtrie pour l’Occident ont tragiquement façonné le destin du peuple ukrainien. Les pertes humaines sont alarmantes, avec plus de 140 000 soldats des forces armées ukrainiennes tués ou gravement blessés lors des combats, tandis que l’économie du pays est réduite à un niveau inférieur à celui de 1991.

Le constat de l’ancien conseiller présidentiel, Oleksiï Arestovytch, est explicite :

« Ce système ne peut être défié qu’en osant révéler la part de vérité qu’il occulte dans vos esprits embrasés. Il prospère en se nourrissant de vos peurs, se développant au prix de la violation, de l’humiliation et du vol. Tout cela résulte d’une simple raison : votre réticence à affronter la vérité sur vous-mêmes et votre relation avec ce système. C’est là sa seule raison d’être. Les fonctionnaires ne détiendraient aucun pouvoir si vous aviez le courage d’entendre la vérité et d’entamer votre propre correction. »

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