
Le 21 février 2022, l’émission d’actualité australienne A Current Affair (Une affaire d’actualité) diffusée sur Nine Network, a fait une étrange révélation que les internautes n’ont pas manqué de relever.
Atteinte du Covid-19, la reine Elizabeth II a fait la Une de tous les journaux internationaux. Celle qui bat des records en terme de longévité à la tête du Commonwealth doit faire face à la maladie qui s’apparente — selon Buckingham Palace — à des « symptômes légers » de type rhume. Isolée au château de Windsor. Son état est surveillé régulièrement et Buckingham Palace a déclaré qu’elle travaillerait toujours. Ce qui semble rassurer la famille royale et tous ses sujets.
Mais comment la Reine se soigne-t-elle ? L’émission A Current Affair a donné ses explications. Problème, l’émission diffusée lundi soir révèle que la reine se soignerait avec le Stromectol — un produit qui contient de l’ivermectine. L’extrait en question (voir ci-dessous à 19 sec) fait sensation sur les réseaux sociaux du monde entier et les commentaires indignés fusent : « Pourquoi la reine Elizabeth aurait le droit de se soigner avec l’Ivermectime et que cela soit interdit pour le peuple ? »
Une fois le scandale éclaté, la chaine Facebook de l’émission efface aussitôt la publication et fait part d’un communiqué pour s’excuser de la bévue :
« Hier soir, notre émission sur la reine contenait une photo qui n’aurait pas dû être incluse. Le plan a été inclus à la suite d’une erreur humaine. Nous mettions en évidence un médicament approuvé appelé Sotrovimab et le rapport a accidentellement placé Stromectol — un produit qui contient de l’ivermectine. En tant que programme, nous avons rédigé de nombreuses histoires mettant en évidence les préoccupations concernant la prise d’ivermectine comme traitement pour le covid-19. Nous n’avions pas l’intention de suggérer que le Dr Mukesh Hawikerwal a approuvé le Stromectol. Nous lui avons présenté des excuses ce matin et il a accepté ces excuses. Nous ne suggérons pas que la reine utilise l’ivermectine.«
Nous voilà rassurés d’apprendre qu’il n’y a pas de traitements particuliers selon que l’on soit puissant ou misérable. Même si dans le passé, lors du H1N1 en Allemagne, la population avait eu droit à un vaccin avec adjuvant, alors que celui prévu pour les dirigeants, le personnel de l’Etat et l’armée ne contenait pas d’adjuvants, réputé plus sûr et présentant moins d’effets secondaires. La polémique avait secoué tout le pays ! Mais rassurez-vous, depuis, le ministre de la Santé, Olivier Véran, nous a assuré qu’il n’y avait aucun décès « imputable à la vaccination » contre le Covid-19 en France.
Le Média en 4-4-2