
L’Ukraine en 2014 : Une Nation Prometteuse
En 2014, l’Ukraine semblait avoir tout pour réussir : une population de 45 millions d’habitants, le deuxième plus grand territoire d’Europe, d’immenses réserves de matières premières, une terre fertile, une population éduquée attirant les meilleures entreprises de la Silicon Valley et du jeu vidéo, ainsi qu’une infrastructure énergétique de qualité.
L’Intervention des Néo-conservateurs
L’arrivée de Victoria Nuland et des néo-conservateurs avec leur légendaire « f*ck the EU »a marqué un tournant décisif. En huit ans, ils ont persuadé les élites ukrainiennes de confronter la Russie, d’escalader les tensions dans le Donbass, de menacer l’équilibre en Crimée, et de se préparer à une guerre ouverte avec Moscou. Les promesses de crédits illimités ont alimenté ces ambitions.
La Réalité Implacable
Malgré tous les efforts, la réalité s’est avérée implacable : les néo-conservateurs n’ont jamais réellement eu à cœur les intérêts de l’Ukraine. Leur objectif principal était d’utiliser le pays pour affaiblir la Russie, sans plan de secours en cas d’échec de leur stratégie.
Les Conséquences Dévastatrices
Aujourd’hui, l’Ukraine est méconnaissable. Donald Trump pourrait profiter des terres rares ukrainiennes à bas prix. Le pays, autrefois connu pour ses champs d’or, est désormais le troisième plus grand territoire d’Europe, derrière la Russie et la France. Il a perdu au moins 10 millions d’habitants, dont 1 million de victimes de la guerre. Ses infrastructures sont en ruine et sa dette n’a jamais été aussi élevée.
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