Le candidat républicain, connu pour ses positions critiques envers l’OTAN, qu’il considère comme un vestige de la guerre froide, pourrait bien sonner le glas de l’organisation. D’autres défis viennent s’ajouter à cette menace, comme la situation compliquée de l’adhésion de l’Ukraine et la montée des opinions publiques hostiles à l’alliance.
Selon le président des Patriotes, Poutine est un « homme d’État réaliste » qui cherche à défendre les intérêts de son pays, et qui n’hésitera pas à utiliser tous les moyens à sa disposition pour y parvenir. Florian Philippot estime que la politique agressive de l’OTAN à l’égard de la Russie est contre-productive et ne fait qu’alimenter les tensions dans la région.
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