Un lanceur d’alerte des Nations Unies accuse le bureau des droits de l’Homme de l’organisation en Suisse de continuer à fournir au gouvernement chinois les noms d’activistes critiquant Pékin.
Emma Reilly, une employée de l’ONU qui a dénoncé la pratique pour la première fois en 2013, a déclaré dans une lettre du 21 octobre adressée à de hauts diplomates américains et à des membres du Congrès : « le Haut-Commissariat aux droits de l’homme (HCDH) continue apparemment de fournir à la Chine des informations indiquant si des défenseurs des droits de l’Homme désignés prévoient d’assister à des réunions à Genève. »
– Une traduction du Média en 4-4-2