Politique

L’Élève Delogu : Bonnet d’âne de la semaine

Sébastien Delogu, député de La France Insoumise (LFI), a fait parler de lui cette semaine pour une série de bourdes et de déclarations maladroites qui lui valent haut la main le titre de "bonnet d'âne" de la semaine. Entre méconnaissance historique et gaffes en direct, le député marseillais a enchaîné les faux pas, suscitant des réactions allant de l'amusement à l'indignation.

mise à jour le 15/09/24

Sébastien Delogu n’est pas doué en lecture, ne connaît pas l’histoire de France, mais il sait être méprisant.

Des cours de CP à rattraper

Lundi, il a rencontré des difficultés à lire son texte lors de la commission des finances, prétendant devant les députés que 100 milliards représentent 600 fois 1,3 milliard. Mardi, il a bénéficié du soutien de ses camarades qui ont dénoncé « un mépris de classe »…


Refus de serrer la main au RN

Sébastien Delogu est fier de refuser de serrer la main aux membres du Rassemblement National (RN), justifiant son geste par un refus de « baisser la tête face à l’Histoire ». Une déclaration qui aurait pu passer inaperçue si, quelques minutes plus tard, il n’avait pas avoué ne rien connaître à l’Histoire et ne pas savoir qui est Philippe Pétain.


Pétain et Léon Blum : Des figures méconnues

Notre député insoumis a en effet admis ne pas connaître Pétain, déclarant : « Je ne sais pas qui est Pétain. J’ai entendu parler de lui, je sais qu’apparemment c’est un raciste ». Cette méconnaissance a été suivie d’une autre révélation : le député a également avoué ne pas connaître l’histoire de Léon Blum, figure emblématique du Front populaire. « Je n’ai pas l’historique du Front populaire de Léon Blum. Moi, ce que j’écoutais quand j’étais jeune, c’était la musique et les jeux vidéo », a-t-il déclaré.


Une tentative de rattrapage maladroite

Après s’être couvert de ridicule en avouant ne pas savoir qui est Pétain, Sébastien Delogu a tenté de se rattraper en se faisant photographier en train de lire un livre sur le Maréchal. Cependant, il s’agissait en réalité d’une partition de la chanson « Maréchal, nous voilà ! ».  Sans doute est-ce une boutade, mais était-ce le bon moment pour jouer avec le second degré ?

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