
L’article de Patrice Gibertie commence ainsi : « Les lecteurs de ce blog se souviennent de ma détermination à contester la durée réelle des fameux essais Pfizer sur lesquels tout s’est joué. Je ne croyais pas aux durées annoncées ? Le comité de la Chambre des Lords Britanniques confirme mes inquiétudes : seuls 7 % des patients ont été suivis pendant les six mois annoncés et n’ont apporté aucune preuve. »
Extraits de la lettre des Lords au British Medical Journal :
Il existe une incertitude considérable quant à l’efficacité des vaccins contre le covid, certaines complications graves à court terme et un manque de données sur les méfaits à long terme. Dans cette situation, il est impératif que les gens soient en mesure de faire un choix en toute connaissance de cause quant à l’opportunité de se faire vacciner ou non.
Les essais n’ont également fourni aucune donnée permettant de savoir si les vaccins réduisent ou non la transmission – des choses que nous avons dû apprendre à la dure, grâce à des preuves du monde réel comme la propagation rapide des variantes Delta et maintenant Omicron. […]
La Chambre des Lords conclut : « Contraindre les gens à se faire vacciner contre le covid, soit par la menace de sanctions juridiques, soit, dans le cas des mandats pour les groupes professionnels, en privant les gens de leurs moyens de subsistance et de leur carrière, n’est pas justifié en raison de l’incertitude qui règne sur les avantages globaux des vaccins, le rapport risque-bénéfice défavorable pour de nombreux groupes et, surtout, le manque de données sur les méfaits à long terme. »