Idriss Aberkane :
« Après avoir menti publiquement pendant sept ans en affirmant que je n’avais jamais été « docteur de l’école polytechnique », la sulfureuse école de Palaiseau vient de tenter un ultime coup de bluff en laissant littéralement un de ses retraités divaguer dans la presse des accusations de « plagiat » à mon encontre.
Bref, l’école qui a nié m’avoir inscrit en doctorat rêve me reprendre ce diplôme qui n’existait pas. C’est pathétique. Mais c’est aussi illégal. En réalité, si l’Express et le Parisien ont blanchi avec joie cette fausse information, c’est précisément qu’elle déclare le contraire absolu de la réalité.
D’une part reproduire une documentation technique open source dans la section « matériel et méthode », en indiquant toutes les sources et citations n’a jamais constitué, même dans les plus homériques ivresses du pauvre retraité vitupérateur, une tentative de plagiat de quelque sorte. D’autre part l’Université Paris-Saclay, qui a seule responsabilité pénale, n’a elle bien entendu donné aucune suite à ce dossier déliré. Il n’y a donc aucune décision légale, encore moins de « sanction » et de décision de justice, ce n’est que le bluff aussi outrancier qu’hors-la-loi d’un bureaucrate éconduit qui meuble sa retraite en tentant une troisième mi-temps dans la presse.
Mais alors pourquoi ? Pourquoi l’école polytechnique n’a jamais supporté qu’un « Idriss Aberkane » en soit docteur ? Pourquoi a-t-elle menti avec autant d’acharnement et pourquoi a-t-elle tenté une manœuvre aussi suicidaire, si désespérée en fait que j’ai porté plainte pour Faux en Ecriture Publique, un crime jugé par la Cour d’Assise, la même qui juge les pédophiles, les tueurs en série, les tortionnaires et les terroristes ? Eh bien c’est parce qu’il règne hélas une atmosphère abjecte à l’école polytechnique, qui cultive un sentiment d’impunité. »
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