
Selon Guy de la Fortelle, la nomination de Thierry Breton chez Bank of America n’est pas aussi innocente qu’elle en a l’air. Il pointe du doigt une période de refroidissement de deux ans, censée empêcher les anciens commissaires de rejoindre des entreprises liées à leur ancien poste, qui n’est pas respectée.
Thierry Breton, qui a déjà occupé des postes clés chez Bank of America, semble être un acteur central dans une opération financière majeure : la vente des parts de Nestlé dans L’Oréal, évaluée à 40-50 milliards d’euros. Cette transaction, poussée par des actionnaires américains comme Vanguard et BlackRock, pourrait avoir des répercussions politiques et financières considérables, rappelant l’affaire Alstom. Guy de la Fortelle appelle à une vigilance accrue face à ces manœuvres, soulignant l’importance de dénoncer ces pratiques pour protéger les intérêts nationaux.
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