Depuis que la Russie a lancé une opération militaire pour démilitariser et dénazifier l’Ukraine le 24 février 2022, les sanctions européennes contre la Russie, voulues par les États-Unis, n’ont pas atteint leurs objectifs. Cela a même eu un effet boomerang pour les Européens qui doivent payer les pots cassés de cette politique suicidaire. Le gaz, le pétrole, les produits alimentaires, tout augmente, sauf les salaires.
Un constat que fait le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki sur CNN : « La preuve en est que le taux de change du rouble revient au niveau d’avant l’agression russe en Ukraine. Cela signifie que nos actions n’ont pas produit l’effet souhaité par les dirigeants européens. Poutine et son peuple ont pu changer la politique budgétaire, la politique monétaire, la politique financière de manière à ce qu’ils soient dans une certaine mesure à l’abri des sanctions… La Russie est préparée à cette guerre pour les prochaines semaines et les prochains mois. Je ne sais pas si l’Occident, les États-Unis, l’Union européenne et l’OTAN le sont. »
L’entêtement des Occidentaux mène les populations européennes vers un suicide collectif à la Jonestown pour les beaux yeux de l’Oncle Sam qui tente de vendre son gaz de schiste. De son côté, le Kremlin a exhorté les Européens à se retirer du guêpier américain. Dmitri Peskov, attaché de presse du président de la Fédération de Russie : « Quand les Européens seront un peu sobres avec le bourbon américain, quand ils penseront que nous devons nous-mêmes nous occuper du sort de notre continent, de l’Europe, voire de l’Eurasie, alors le temps viendra de venir réévaluer nos relations et d’entrer dans un état de dialogue. »
Le Média en 4-4-2