Les politiques de santé publique : un contrôle déguisé
Les politiques de santé publique, souvent perçues comme bienveillantes, sont en réalité des outils de contrôle. Jérémie Mercier cite des exemples récents, notamment la période Covid, où des mesures drastiques ont été imposées, affectant particulièrement les personnes les plus faibles et vulnérables. Il critique le corps médical, qu’il décrit comme étant « aux ordres de l’establishment », et souligne l’absence d’éducation à la santé, rendant les individus incapables de se défendre face à ces pressions.
L’impact sur les groupes vulnérables
Jérémie Mercier met en avant les groupes les plus touchés par ces politiques : les personnes âgées, les enfants, les femmes enceintes et les malades. Il dénonce le manque de liberté de penser et d’agir, imposé par un système médical qui ne laisse pas de place à la réflexion critique. Il compare cette situation à l’expérience de Milgram, où les individus se soumettent à l’autorité sans remettre en question les ordres reçus.
La vaccination obligatoire : un exemple concret
En France, la vaccination est devenue obligatoire pour les enfants dès l’âge de trois ans, avec une augmentation significative du nombre d’injections requises. Jérémie Mercier critique cette politique totalitaire et non basée sur la science. Il compare la situation française à celle d’autres pays, comme l’Estonie, l’Espagne, la Suisse et le Luxembourg, où les vaccinations ne sont pas obligatoires mais recommandées, laissant ainsi plus de liberté aux individus.
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