Dominique Delawarde, ayant supervisé le départ des troupes israéliennes au Sud-Liban, revient sur ses deux séjours dans la région en tant que commandant de bataillon de l’ONU et chef du renseignement de la Force intérimaire des Nations Unies au Liban. Initialement pro-israélien, il a radicalement changé son point de vue au contact de la réalité.
Durant ses deux années au Sud-Liban, entouré de bataillons de différentes nationalités, l’ex-général français témoigne du revirement d’opinion généralisé. Aucun bataillon, qu’il soit composé d’Africains, de Ghanéens, de Fidjiens, de Finlandais, de Norvégiens, de Suédois, d’Italiens, ou même d’Américains, ne repartait en étant favorable à Israël. Cette prise de conscience collective a profondément marqué l’ex-général.
Lors d’une interview, Dominique Delawarde, ancien général français, a partagé une expérience marquante suite à sa mission au Liban avec l’ONU.
Initialement en faveur d’Israël, il a changé d’opinion après avoir été confronté à la réalité sur place, affirmant que ses convictions… pic.twitter.com/ufgt3B4uzu
— Nouvelle Aube – Yeni Şafak Français (@nouvelleaubefr) November 20, 2023
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