Société

Elles sont féministes mais refusent d’aller à la guerre : L’égalité oui, mais pas sous les balles !

Lors du podcast Whatever, des femmes affirmant être féministes ont refusé l’idée d’être enrôlées en cas de guerre, expliquant que seuls les hommes devraient aller au combat. Un exemple frappant d’égalité sélective, où les droits sont bienvenus, mais les devoirs beaucoup moins.

mise à jour le 14/03/25

Podcast Whatever : les féministes prises à leur propre jeu.

Ah, le féminisme moderne… Celui qui réclame l’égalité des droits, mais qui, bizarrement, disparaît dès qu’on parle d’enfiler un treillis et de partir au front. Lors du podcast Whatever, plusieurs jeunes femmes, se revendiquant fièrement féministes, ont été confrontées à une question simple mais visiblement embarrassante :

« Si une guerre éclatait, pensez-vous que les femmes devraient être enrôlées dans l’armée au même titre que les hommes ? »

La réponse ? Un concert de « Non, absolument pas ! » ponctué de justifications plus bancales les unes que les autres.

.
Ce moment de flottement met en lumière une tendance que l’on observe de plus en plus : le féminisme version « je prends ce qui m’arrange ».
✅ Un salaire égal ? OUI.
✅ Des postes de pouvoir ? ÉVIDEMMENT.
✅ Les mêmes responsabilités et devoirs que les hommes en cas de conflit ? Euh… Peut-être une autre fois.

Soyons clairs : personne n’a envie d’aller à la guerre. Mais si l’on prône l’égalité totale, il serait logique d’assumer également les mêmes devoirs civiques. Or, ici, on voit bien que la revendication d’égalité a ses limites : celles du danger et de l’inconfort.

Quand L’Égalité Devient Un Menu À La Carte

Ce podcast illustre parfaitement le double discours de certaines féministes d’aujourd’hui. L’égalité, oui, mais uniquement quand elle est avantageuse. Lorsqu’il s’agit d’occuper des postes stratégiques en entreprise, d’avoir des quotas en politique ou d’éviter de payer l’addition au resto, le féminisme est sur le devant de la scène. Mais dès que l’on parle de conscription ou de guerre, soudain, le patriarcat guerrier redevient bien pratique.

Visiblement, l’égalité, c’est surtout une option à la carte, avec une case « exceptions en cas de conflit armé ».

Chères lectrices, chers lecteurs,

Soyez acteur du changement en soutenant un journalisme véritablement indépendant et de qualité en vous abonnant à notre média financé par les dons de personnes comme vous.

Accédez à des contenus exclusifs
et soutenez notre indépendance

Abonnez-vous

partagez cet article !

1 commentaire sur "Elles sont féministes mais refusent d’aller à la guerre : L’égalité oui, mais pas sous les balles !"

Laisser un commentaire

  1. Ce genre de « gifle » médiatique est réjouissant. Mais ce n’est rien par rapport au moment où l’illusion wokiste va se fracasser sur le mur de la réalité, ce qui ne devrait plus tarder vu la tournure que prennent les choses . Depuis l’avènement du métrosexuel jusqu’à la mise sur piédestal de l’homme déconstruit sur base woke on assiste à la tentative d’éradication de toutes les valeurs ancestrales pilotant les rapports homme/femme . Mais sous peu quand le souci principal sera la survie en milieu hostile, soit à cause d’une guerre internationale , d’une guerre civile à caractère ethnico-religieuse , ou d’un effondrement de la normalité socio-économique , le mâle alpha de l’époque chasseur cueilleur reprendra sa place dans ce qui restera de la société. Quant à la cohorte des passionarias du féminisme elle devront expliquer leur point de vu aux hordes mahométanes qui seront en roue libre un peu partout.

Newsletter

La Boutique du 4-4-2

Société

Accédez à des contenus exclusifs et soutenez notre indépendance

Abonnez-vous

Accédez à des contenus exclusifs et soutenez notre indépendance

Abonnez-vous

Accédez à des contenus exclusifs et soutenez notre indépendance

Abonnez-vous