La baisse historique actuelle du nombre de naissances en France se confirme un peu plus chaque mois. Selon les dernières données de l’INSEE, en mars 2023, seulement 1 816 bébés sont nés en moyenne par jour. C’est 7 % de moins qu’en mars 2022, soit 24 000 de moins par rapport à la même période en 2022, et c’est aussi 7 % de moins qu’en mars 2020, avant le début de la pandémie de Covid-19.
L’année 2022 avait déjà enregistré le plus faible nombre de naissances depuis 1946. Le niveau de naissances de mars 2023 est le plus faible enregistré depuis 1994, première année de disponibilité des données mensuelles sur le champ de la France métropolitaine et des Dom.
Dans toutes les régions de France métropolitaine, les naissances ont été moins nombreuses en mars 2023 qu’en mars 2020. La baisse la plus marquée est en Occitanie (-11 %) et la moins marquée en Bretagne (-2 %). Dans les Dom, les naissances ont augmenté à Mayotte et à La Réunion.
Le nombre de naissances pour un mois de mars atteint un niveau historiquement bas, jamais enregistré depuis les statistiques existantes.
Voici quelques exemples de la baisse du nombre de naissances par région en France, montrant l’impact inquiétant sur la démographie française :
- En Corse, le nombre de naissances a diminué de 13,6 %.
- Dans le Grand Est, le nombre de naissances a diminué de 15,1 %.
- En Guadeloupe, le nombre de naissances a diminué de 12,1 %.
- En Île-de-France, le nombre de naissances a diminué de 8,6 %.
- En Occitanie, le nombre de naissances a diminué de 8,0 %.
Toutes les régions de France métropolitaine ont été touchées par cette baisse du nombre de naissances.
Selon l’association “Où est mon cycle” de la présidente Mélodie Feron, la baisse historique du nombre de naissances en France pourrait être liée aux effets secondaires du vaccin contre la Covid-19. Depuis plus d’un an et demi, elle ne lit que des témoignages de femmes désespérées qui, depuis le vaccin, n’arrivent plus à avoir d’enfants, sont extrêmement malades ou ont fait une fausse couche après les injections :
« Les autorités françaises font comme si il n’y avait pas de sujet, comme si toutes les voix des victimes d’effets secondaires étaient muettes. C’est de la maltraitance délibérée envers toutes les personnes en demande de soins. Sans reconnaissance des effets secondaires, rien ne sera jamais étudié et on ne pourra pas nous soigner. »
Voir le rapport sur le site de l’INSEE.
Le Média en 4-4-2.