Cristina Kirchner, la vice-présidente argentine, a été mise en cause dans une dizaine de dossiers, entre pots-de-vin, blanchiment de fonds, entrave à la justice, elle a bénéficié de non-lieux. Cinq procédures restent en cours. Elle se mêlait à la foule de manifestants (des partisans et des opposants) en face de son domicile dans le quartier de Recoleta. Un homme a pointé son arme à feu « chargée » vers sa tête, sans qu’aucun coup de feu ne parte. Il aurait été arrêté jeudi soir à Buenos Aires.
« Cristina est en vie, car pour une raison qui n’a pas encore été confirmée techniquement, l’arme qui contenait cinq balles n’a pas fait feu bien qu’ayant été déclenchée », a déclaré le président argentin dans une allocution quelques heures après l’incident.
🔴 #ATENCIÓN | En Argentina un hombre fue detenido tras apuntar con un arma a Cristina Fernández de Kirchner, vicepresidenta de ese país.
El hecho ocurrió en las afueras de su domicilio. ⚠️ pic.twitter.com/mZs2VYGqVx— Radio Pichincha (@radio_pichincha) September 2, 2022
So relieved that this attempt on Cristina Kirchner’s life failed. Unspeakably dispiriting that it came within a hair of succeeding. So much of Latin America is on a knife’s edge right now. Peace, calm, solidarity, and non-violence as urgent as ever.
pic.twitter.com/EDrOqV6oUS— Andre Pagliarini (@apagliar) September 2, 2022
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