Santé

Annelise Bocquet, répond à l’article du « Monde Diplomatique » intitulé : « Soignants suspendus, autopsie d’une erreur »

Annelise Bocquet, docteur en Biologie Santé et enseignante d'hématologie/immunologie, soulève avec courage les conséquences méconnues et souvent tragiques liées à la vaccination anti-covid.

mise à jour le 01/02/24

Annelise Bocquet dénonce les effets indésirables des vaccins et la détresse des soignants suspendus.

Dans un poignant témoignage publié sur X, en réponse à un article du Monde Diplomatique évoquant (beaucoup trop tard) les soignants suspendus, Annelise Bocquet met en lumière la détresse des soignants, souvent relégués au rang de « rats de laboratoire » lorsqu’ils subissent des effets indésirables, tout en questionnant la responsabilité des professionnels de la santé dans l’administration de ces vaccins.

À travers ses mots saisissants, elle évoque les souffrances physiques et morales de ceux qui ont payé un lourd tribut pour avoir simplement cherché à vivre, tout en appelant à une réflexion critique sur les pratiques médicales contemporaines.

Moi, je voulais juste… vivre. Et gagner ma croûte… faire vivre ma famille !

Comme bon nombre de soignants injectés anti-covid et qui souffrent d’effets indésirables… pris pour des rats de laboratoire.
Vous parlez des soignants suspendus avec 3 ans de retard. Combien de temps allez-vous mettre pour parler des effets indésirables ?

Des cas de myocardites, pericardites, pemphigoides bulleuse, d’atteintes neurologiques et dégénératives, des cancers, des troubles gynécologiques… des troubles de la coagulation et des morts ? Car oui, il y a eu des morts… et il y a aussi des « morts vivants ». Vous savez, des personnes qui ne peuvent plus bouger car elles souffrent le martyre. Qui ne peuvent plus « gagner leur croûte », enfermées dans un corps qu’elles ne reconnaissent plus et qu’elles ne maîtrisent plus.

Alors, moi, je voulais juste… vivre. Et aujourd’hui, je le paie très cher.

J’ai une pensée pour les soignants suspendus. Ils ont vécu l’enfer… et je pèse mes mots. La mort sociale, l’opprobre, les humiliations… ils ont tenu bon avec une détermination qu’il faut saluer.

Mais j’ai aussi une pensée pour les soignants qui ont injecté ces produits anti-covid… il y en a qui s’en mordent les doigts. Une culpabilité terrible à porter… c’est aussi à ces soignants là que vous devez vous intéresser… les repentis.
Eux aussi, on leur a menti, on les a manipulés avec une drôle d’éthique et de l’argent pour endormir les doutes. « Vous allez sauver des vies » qu’ils ont dit. Ouai… c’est ça… et combien va-t-on en bousiller ?

Aujourd’hui encore, les médecins généralistes suivent les recommandations des « sociétés savantes »… des erreurs médicales énormes sont faites mais tout va bien. Depuis quand la médecine se pratique sur décret ? Depuis quand les médecins ont arrêté de s’intéresser aux malades et d’analyser les cas ?
Intéressez vous aux sociétés savantes et à ceux qui les dirigent… vous seriez surpris du taux de corruption et de malversations, des conflits d’intérêt et politiques.

Sur ce… moi, je voulais juste… vivre !
Comme beaucoup de français et d’âmes sur cette Terre… tout ce que nous voulons, c’est vivre.

Annelise Bocquet depuis son compte X en réponse à un article du Monde Diplomatique qu’on aurait aimé voir publié bien plus tôt…

Chères lectrices, chers lecteurs,

Soyez acteur du changement en soutenant un journalisme véritablement indépendant et de qualité en vous abonnant à notre média financé par les dons de personnes comme vous.

Accédez à des contenus exclusifs
et soutenez notre indépendance

Abonnez-vous

partagez cet article !

Pas encore de commentaire sur "Annelise Bocquet, répond à l’article du « Monde Diplomatique » intitulé : « Soignants suspendus, autopsie d’une erreur »"

Laisser un commentaire

Newsletter

La Boutique du 4-4-2

Santé

Accédez à des contenus exclusifs et soutenez notre indépendance

Abonnez-vous

Accédez à des contenus exclusifs et soutenez notre indépendance

Abonnez-vous

Accédez à des contenus exclusifs et soutenez notre indépendance

Abonnez-vous