
La journaliste en question menait une enquête sur les ventes d’armes françaises à Israël, un sujet d’intérêt public nécessaire au débat démocratique. Elle a été interpellée par la police et placée en garde à vue pour avoir simplement fait son travail de reporter indépendant. Cette mesure de rétorsion a été prolongée, et la journaliste a passé la nuit en cellule car elle a refusé de donner le code de son téléphoner et livrer son ADN. Cette situation n’est pas sans rappeler ce qui était arrivé à Ariane Lavilleux de Disclose, qui avait également été arrêtée pour avoir enquêté sur les ventes d’armes françaises.
Les autorités françaises s’en prennent de nouveau aux vrais journalistes en violant la liberté de la presse. Informer n’est pas un délit.
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