Dans un clip promotionnel, l’entreprise Pfizer met en scène de très jeunes enfants pour vanter le vaccin anti-covid. Une voix d’enfant explique pourquoi le vaccin est super : « Nous voulons tous être des super héros. Les super héros les plus importants sont ceux qui aident les autres. Cette année des milliers d’enfants comme nous à travers le monde ont rejoint l’essai du vaccin (covid-19 vaccine Trial) et quand il l’ont fait, ils sont tous devenus des super héros. »
Tout d’abord il faut bien comprendre que le niveau d’abjection de l’industrie pharmaceutique n’a pas de limite. S’il faut utiliser des enfants pour vendre un vaccin, cela fait partie de la stratégie marketing du directeur Albert Bourla, qui, rappelons-le, est vétérinaire.
Il n’est pas inintéressant de se souvenir que l’entreprise Pfizer a un palmarès de 40 cas d’inconduite qui ont été portés devant les tribunaux. Elle a dû payer au total 6,171 milliards de dollars d’amendes. Donc, quand cette entreprise criminelle, condamnée par les justices du monde entier, veut prendre soin de vos enfants, méfiez-vous ! Car même si nous pensons — à la rédaction en 4-4-2 — que tous les enfants sont des super héros, nous savons aussi qu’Albert Bourla détient la kryptonite sous forme de myocardie et péricardite ! Et malheureusement, voici une réalité cachée des médias mainstream, les adolescents qui n’ont pas obtenu de super pouvoirs avec le vaccin et sont handicapés ou décédés : Maddie de Garay (12 ans), Sofia Benharira (17 ans), Jacob Clynick (13 ans), Majda El Azrak (14 ans), Arianna (13 ans)…
Le Média en 4-4-2