Elle s’appelle Laurenne Nocq, 38 ans. Vaccinée, elle témoigne des effets secondaires. Suite à sa deuxième dose Pfizer, cette habitante des Hautes-Pyrénées développera — trois semaines après l’injection — une paralysie faciale périphérique gauche.
Dans ce terrible témoignage, Laurenne raconte avoir fait confiance au gouvernement comme des millions de Français : « Je voulais trouver une vie normale, aller au cinéma, au théâtre et, pourquoi pas, un petit restaurant le soir. Je voulais protéger les autres, car on me disait que je pouvais nuire. Je voulais travailler… Je dois vous avouer par culpabilité, je me suis fais vacciner. »
Médecins, gouvernement, médias ont répété que cette injection était fiable, que c’était la pointe de la technologie. Cette femme déchante à présent : « J’avais confiance, j’avais cru à votre version, je dois avouer, par naïveté je me suis fait vacciner et me voilà paralysée. […] Je suis une victime paralysée pas du virus, mais du vaccin. »
S’adressant au président Macron, Mme Nocq dit toute sa colère : « Que dis-tu à tous ces gens malades, à la vie désormais bouleversée ? Infarctus du myocarde, myocardite, accident vasculaire cérébral, thrombose, zona, herpes ou autres, viroses, infection pulmonaire, règles déréglées, syndrome de Guillain-Barré… que dis-tu à tous ces gens qui ont vu leur vie basculer ? »
Laurenne ne compte pas en rester là et a rejoint VERITY France, ce collectif qui réunit victimes et familles comme Marc Doyer, le papa de Maxime Beltra, la famille de la petite Mélanie 15 ans (arrêt cardiaque)… Si vous avez des effets secondaires, n’hésitez pas à les contacter.
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