Née en Syrie en 1944, Armande Altaï a grandi dans un contexte marqué par la guerre et la diversité culturelle. Son père, officier de l’armée française, et sa mère, d’origine turque et russe, ont façonné son ouverture d’esprit et son amour pour la culture.
Armande Altaï a évoqué les mouvements culturels et artistiques qui ont marqué les décennies passées, de l’existentialisme des années 50 aux hippies des années 60, en passant par le rock and roll et le rap. Elle a souligné l’importance de la subversion et de la liberté dans l’art, critiquant la conformité actuelle et l’absence de mouvements culturels significatifs. Elle a également mis en lumière la censure et les contraintes économiques qui pèsent sur les artistes aujourd’hui.
L’ancienne professeur de chant a appelé à plus de courage et de non-conformisme dans le monde de l’art et de la culture. Elle a salué les artistes qui osent encore être subversifs et a encouragé les jeunes générations à suivre cette voie. Son discours a été acclamé par l’audience, soulignant son rôle inspirant et humaniste.
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