Quand le président de la République française emmerde une partie de la population — en l’occurrence les non-vaccinés —, le préfet de police, Didier Lallement, donne des consignes de fermeté aux forces de sécurité pour faire comprendre que la dictature sanitaire est aussi très autoritaire. Il semble que le message soit passé chez certains comme le droit à dépasser toutes les limites.
Lors de la manifestation du Convoi de la Liberté, le conducteur d’une voiture et ses passagers, qui arboraient le drapeau tricolore, ont vu un policier les braquer avec son arme de service. Une vidéo immortalise cette séquence qui aurait pu tourner au drame. Une enquête administrative — qui finira aux oubliettes — a été ouverte. Il semble que le gouvernement Macron perd pied et n’arrive plus à tenir ses ouailles qu’il avait préalablement chauffées à blanc et dont certaines se sont vu pousser des ailes. Dans une autre vidéo, postée sur les réseaux sociaux, un membre des forces de l’ordre frappe violemment à la tête à coups de matraque un homme, avenue des Champs-Élysées. Un autre manifestant a carrément eu la jambe brisée en deux. La violence des mots du président Macron s’incarne dans le réel. Il avait promis de les emmerder. C’est en les tabassant qu’il s’y prend.
Un policier a braqué son arme sur un automobiliste du convoi de la liberté. #ChampsElysees #convoisdelaliberte #ViolencesPolicieres pic.twitter.com/GfAMQIj9Uw
— Anonyme Citoyen (@AnonymeCitoyen) February 12, 2022
https://twitter.com/AnonymeCitoyen/status/1492813990845632513
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