Dans une décision incroyable, Meta, le géant des réseaux sociaux, a annoncé qu’il supprimerait désormais les messages contenant le terme « sioniste » lorsqu’il se réfère à des personnes juives ou israéliennes. Cette mesure drastique fait suite aux pressions intenses du lobby israélien visant à faire taire toute forme de contestation en ligne.
D’après AXIOS, le groupe californien a déclaré mardi :
« Nous allons maintenant supprimer les messages ciblant les ‘sionistes’ dans plusieurs domaines où notre enquête a montré que le terme tend à être utilisé pour désigner les juifs et les Israéliens, avec des comparaisons déshumanisantes, des appels à nuire, ou des dénis d’existence. »
Cette décision marque un tournant significatif dans la politique de modération des contenus sur Facebook et Instagram.
Meta (qui inclut Instagram, Facebook et Threads) avait initié cette réflexion sur la modération du terme « sioniste » il y a cinq mois, en réponse à la polarisation croissante du discours public suite aux événements au Moyen-Orient. Le géant des réseaux sociaux a consulté de nombreux experts, notamment des historiens, des juristes et des associations, pour déterminer si le terme « sioniste » désigne les partisans d’un mouvement politique ou le peuple juif ou israélien. Bien que les règles de Meta permettent des attaques générales contre des membres de partis politiques, elles interdisent celles visant des groupes définis par leur nationalité ou religion.
Meta a conclu :
« Il n’y a pas de consensus global sur ce que les gens veulent dire quand ils utilisent le terme ‘sioniste’. » Cependant, « sur la base de nos recherches et de nos enquêtes sur les plateformes concernant son utilisation pour désigner le peuple juif et les Israéliens en relation avec certains types d’attaques haineuses, nous supprimerons désormais les contenus qui ciblent les ‘sionistes’ avec des discours de haine. »
Cette décision suscite une vive controverse. Amnesty International a appelé Meta en février à ne pas « interdire les critiques du ‘sionisme’ ou des ‘sionistes’ en général, » pour éviter « d’étouffer les voix qui s’élèvent contre les violations systématiques des droits des Palestiniens par le gouvernement israélien. »
« Meta doit veiller à ce que ses règles concernant les contenus ne soient ni discriminatoires, ni orientées contre les voix propalestiniennes. Une interdiction totale du toute critique du “sionisme” ou des “sionistes” constituerait une restriction disproportionnée et arbitraire de la liberté d’expression et entraînerait le musèlement des voix palestiniennes, juives et autres qui essaient d’attirer l’attention sur les atrocités commises par les forces armées israéliennes à Gaza, où des milliers de personnes ont été tuées… ».
Plusieurs associations, des politiciens et des médias sionistes félicitent Meta pour sa contribution.
Il est clair que cette décision de Meta, influencée par le lobby israélien, représente une atteinte à la liberté d’expression. En supprimant les critiques de sionisme, Meta non seulement censure des voix dissidentes mais contribue également à dissimuler les actions controversées du gouvernement israélien.
La population mondiale et les personnalités vont-elles appeler au boycott de toutes les plateformes Meta afin de faire reculer cette initiative ? À suivre…
Y’a pas que sur fesses de bouc (site dirigé par cette raclure de Zuckerberg, lui-même étant juif et proche du néonazi Netanyahou !) qu’il est interdit d’ouvrir sa gueule et d’utiliser certains mots !
Essayez sur les merdias genre Le Point, La Dépêche du Midi, etc, on vous vire vite fait ! Des torchons qui auraient été des plus heureux de collaborer sous Vichy !