Voici 2 extraits tirés du lien ci-dessous qui rappellent certaines récentes années… :
« Les enfants sont exclus des écoles publiques s’ils n’ont pas été vaccinés, et l’on tente d’inquiéter et de contraindre les parents et les tuteurs à se conformer à cette condition arbitraire en les poursuivant pour absentéisme. »
« Les personnes employées dans les usines, les entrepôts et la fonction publique sont obligées de se soumettre à la vaccination sous peine de perdre leur emploi. »
Aujourd’hui, je vais vous parler d’un petit ouvrage découvert via un article publié sur le site The Defender ; il s’agit du livre du Dr Alexander Wilder : The Fallacy of the vaccination, publié en 1878 ; il y a presque 150 ans, donc. « Un livre d’une étonnante franchise et clairvoyance », nous dit le ou la journaliste du Defender. Ma curiosité attisée, j’ai voulu me rendre compte par moi-même en quoi ce « vieux » livre pouvait être étonnamment franc et clairvoyant en 2022. Et, surtout, découvrir qui était ce Dr Alexandre Wilder.
J’ai commencé par prendre la direction de Wikipédia (l’encyclopédie globaliste qui ne dit que ce qu’elle veut, et pas toujours correctement), et là, j’apprends qu’Alexandre Wilder est surtout connu pour son appartenance à la théosophie. Oh ! Oh ! me dis-je, c’est pas bon du tout, ça, étonnée que le site The Defender relaie ce genre de personnage.
Que dit Wikipédia ?
Que l’homme était connu, qu’il avait sûrement une certaine notoriété, et qu’il avait une activité d’auteur en plus de celles liées au domaine médical. Dans cette notice, Wikipédia ne s’attarde pas sur les activités du docteur, et préfère traiter celles qu’il exerce comme théosophe – la théosophie étant une idéologie dont on peut dire (grosso modo) qu’elle est le socle du mouvement New Age. Un long article de Rusty James, renseigne plutôt bien sur le sujet. Quant à la bibliographie de l’auteur, Wikipédia l’a expurgée du titre The Fallacy of the vaccination ; circulez, il n’y a rien à voir. Il ne m’en fallait pas davantage pour provoquer en moi une furieuse envie de lire cet ouvrage. Question manipulation : ne jamais provoquer la curiosité…
Tout en traduisant ses 24 pages, j’ai donc lu The Fallacy of the vaccination [Le Sophisme de la vaccination]. Un livret paru, je le rappelle, en 1878, à une époque où le débat pro et anti-vaccin faisait rage. Déjà…
Après lecture, les raisons de la censure wikipédienne me sont apparues claires comme le cristal : l’information essentielle à l’élaboration de la vérité ne doit pas passer. De mon point de vue, j’ai envie de dire que Le sophisme de la vaccination, c’est plus que de la franchise, plus que de la clairvoyance ; c’est carrément militant et visionnaire. Ha ! Ha ! un mouton noir chez les globalistes ! Question : qu’est-ce qui peut relier un homme tel que Wilder à une Blavatsky ? Mystère.
Je ne sais par quel bout commencer, tant la lecture de ce livret m’a estomaquée : à mesure que je tournais les pages (virtuelles), l’année 1873 s’effaçait, faisant résolument place à 2022. Tout y était : de la corruption du milieu médical (toutes disciplines confondues), à celle des instances politiques ; de la désinformation organisée du public, au comportement moutonnier des foules. Tout ce qui se passait à cette époque au sujet de la vaccination se passe aujourd’hui de la même manière. Le monde est-il victime d’un gigantesque sortilège, qui l’empêche de voir et de comprendre ce qui se passe en réalité ? Les ficelles sont toujours les mêmes. Rien n’a changé. Rien.
Comment est-il possible que depuis 150 ans, personne ne soit arrivé à faire chuter cette cabale qui œuvre contre les peuples du monde entier ?
Voici d’autres extraits :
« Néanmoins, il n’a jamais été démontré que les demandes de vaccination étaient sanctionnées par une loi ou un principe établi dans l’art médical. Le principal, voire le seul argument a été la citation de statistiques, plus ou moins perverties, et la déduction que parce que la question a été présentée ainsi, il faut présumer que c’est avec raison. À tout autre argument, on répond par un silence impassible et par une apparente concertation visant à exclure soigneusement toute discussion de la question dans les revues médicales et publiques, et à dénoncer tous ceux qui s’y opposent. »
« En effet, toute personne observatrice peut énumérer des exemples de personnes vaccinées qui ont ensuite été atteintes de la maladie. »
« De temps en temps, cependant, un cas de décès par vaccination est publié, et immédiatement, on s’efforce assidûment de faire croire qu’il est dû à une autre cause. »
« De nombreuses personnes qui ont été vaccinées sont faussement déclarées non vaccinées. Même lorsque la mort survient à la suite d’une vaccination, la vérité est dissimulée et le cas est présenté comme une scarlatine, une rougeole, un érysipèle ou une autre maladie masquée, afin d’éviter un interrogatoire trop serré. »
« Les grands agrégats recueillis par des statisticiens expérimentés dans les périodes précédant l’introduction de la vaccination montrent une mortalité de 18,8 pour cent. Ceux des périodes ultérieures indiquent un taux de mortalité de 18,5 pour cent, ce qui constitue une diminution à peine perceptible. »
« Le recensement de 1870 contient un tableau qui montre qu’il y avait plus de variole en Angleterre en 1860 qu’en 1850, et encore plus en 1870 qu’en 1860. »
« Si les faits étaient présentés impartialement sous leur vrai jour, et si l’on ne cherchait pas à créer une panique autour des quelques cas de variole au nom des emplois de la vaccination, l’attention du public se porterait sur les maladies qui emportent réellement leurs victimes par dizaines et par centaines, plutôt que sur le maigre tableau des cas de variole. »
« Pour illustrer la gravité de la maladie, on a recensé en Haute-Bavière 1 346 personnes atteintes de la forme maligne, dont 90 % avaient été vaccinées. »
« Depuis lors, on se fie, sans se renseigner, à la présomption, souvent erronée, qu’un nouveau projet, surtout s’il est scientifique, a été minutieusement testé et débattu de tous côtés avant de recevoir l’assentiment général de son époque. »
« Il est certain que beaucoup de ceux qui vaccinent n’ont aucune foi dans l’opération, mais la pratiquent pour le plaisir de la rémunération. »
etc., ad nauseam
Je n’invente rien ; ceci a été publié il y a plus d’un siècle et demi…
Dans un article (2018), qui tentait d’expliquer le pourquoi du comment de la réticence du public face à la vaccination, le journaliste concluait :
« Bien que les périodes aient changé, les émotions et les croyances profondément ancrées – qu’elles soient philosophiques, politiques ou spirituelles – qui sous-tendent l’opposition aux vaccins, sont restées relativement constantes depuis qu’Edward Jenner a introduit la vaccination. »
Le fait-il exprès, ou est-il totalement sot ? Si les populations résistent depuis si longtemps, c’est qu’en plus d’un solide bon sens, elles ont un instinct de survie en état de marche.
Pour télécharger le PDF de la traduction et récupérer le livre en anglais, rendez-vous sur le blog de Marguerite Rothe.
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