
Paul Joseph Watson, l’animateur de radio et écrivain britannique, nous rappelle que l es relations entre la France et les États-Unis pourraient connaître de nouvelles tensions à cause de l’affaire Brigitte qui refait surface. Selon un article du Telegraph, des allégations infondées sur l’identité de Brigitte Macron risquent de nuire aux relations diplomatiques entre les deux pays.
Une théorie conspirationniste qui prend de l’ampleur
L’origine de cette information remonte à 2021, lorsqu’un article du journal français Faits et Documents a affirmé que Brigitte Macron et son frère, Jean-Michel Trogneux, seraient en réalité une seule et même personne. Selon cette théorie, la Première dame de France aurait effectué une transition de genre à l’âge de 30 ans, avant de rencontrer Emmanuel Macron, alors qu’il était encore adolescent.
Cette affirmation a été récemment relancée par la commentatrice américaine Candace Owens, qui la qualifie de « plus grand scandale politique de l’histoire ». Cette dernière a publié plusieurs vidéos sur YouTube ‘Becoming Brigitte » traitant du sujet, trouvant un écho chez l’ancien présentateur de Fox News, Tucker Carlson.
Carlson, d’abord sceptique, a finalement déclaré qu’il pensait qu’Owens avait raison. La rumeur a depuis pris de l’ampleur parmi certains cercles proches de Donald Trump, ce qui inquiète les observateurs politiques.
Un risque pour les relations diplomatiques
D’après le Telegraph, cette polémique pourrait détériorer davantage les relations entre Paris et Washington, déjà fragilisées par des désaccords géopolitiques, notamment autour de la guerre en Ukraine.
Des personnalités politiques françaises, à l’image de Raphaël Glucksmann, ont même proposé des actions symboliques pour réagir à certaines positions américaines, comme le retour de la Statue de la Liberté en France. De son côté, la Maison-Blanche, par la voix de Karoline Leavitt, a réagi avec fermeté, rappelant le rôle des États-Unis dans la libération de la France durant la Seconde Guerre mondiale.
Une campagne de désinformation ?
Le professeur Sander van der Linden, spécialiste en psychologie sociale à l’Université de Cambridge, estime que cette « rumeur » pourrait être amplifiée par des campagnes de désinformation, notamment d’origine russe. Toutefois, aucune preuve concrète n’a été apportée à ce sujet.
Pendant ce temps, Brigitte Macron et son entourage restent discrets face à ces accusations. Selon ses représentants légaux, la Première dame n’a pas à prouver son identité biologique, qualifiant ces attaques de « diffamatoires et intrusives ».
Un débat qui persiste sur la scène internationale
Si la « rumeur » semble absurde aux yeux de nombreux observateurs, elle continue pourtant à alimenter les discussions, notamment sur les réseaux sociaux. Alors que la France et les États-Unis tentent de naviguer entre les tensions géopolitiques actuelles, il reste à voir si cette polémique trouvera rapidement une fin ou si elle continuera à faire parler d’elle au plus haut niveau.
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