Julian Assange, informaticien australien devenu journaliste, a lancé WikiLeaks pour dévoiler les crimes de guerre des États-Unis en Irak et en Afghanistan, mais aussi des millions de documents dévoilant les méfaits cachés de tous les empires du monde. Ses vidéos ont fait le tour du monde, défiant l’État profond. Pour faire taire toute parole journalistique libre, les États-Unis et leurs alliés en ont fait un exemple : ils l’ont accusé de viol sans preuve, calomnié, torturé, emprisonné, espionné et accablé de parodies de Justice. Les Etats-Unis demandent son extradition que la « Justice » britannique leur a accordée bien volontiers. Ils veulent le condamner à 175 années de prison ! En attendant que ce prisonnier politique trouve la mort dans une cellule américaine, son avocat a été heurté par un train sans que la police n’y voit malice.