Joe Hunter & Cie ont vendu l’Amérique, mais aussi tout le monde libre

mise à jour le 27/01/22

Joe Hunter & Cie, n’ont pas juste vendu l’Amérique, ils ont aussi vendu tout le monde libre

Le 4 décembre 2013, Joe et Hunter Biden arrivaient en Chine à Pékin à bord de l’Airforce 2. Ce qui a découlé de ce voyage aura de larges implications pour la sécurité nationale et affectera la géopolitique de l’Occident, probablement pour les générations à venir.

Il est bien connu depuis des décennies que Joe Biden, la carte de crédit ambulante du Delaware, était à vendre. Le Parti communiste chinois a voulu désormais faire de lui, et de son fils Hunter, des agents appointés de l’agenda politique de la Chine. Après avoir scellé les accords, les Biden et leur équipe ont fait en sorte de récolter des centaines de millions de dollars en échange de légers services de lobbying (c’est-à-dire secrets et non enregistrés) et ont facilité l’accès à l’ensemble du marché économique des pays développés occidentaux et de ses plus puissantes structures politiques. Aider la Chine à ouvrir sa voie économique impérialiste vers l’hégémonie mondiale, revenait à vendre le peuple américain tout comme le reste du monde développé occidental.

En vendant indirectement son influence, par le biais de son fils, au criminel Parti communiste chinois, Joe Biden a rendu possible l’émergence d’un acteur capable de déchaîner de terribles conséquences pour l’Amérique et ses alliés, les démocraties développées du monde.

Hunter Biden, le bon à rien de fils du vice-président, faisant trop souvent les gros titres bien informés, était le parfait idiot utile à ce projet. Accro aux drogues, ayant même été viré de l’armée pour usage de cocaïne, débauché et possédant des connections dans tout Washington grâce au demi-siècle de carrière politique de son père, il était le collecteur de fonds idéal. Avec les récents emails et SMS dévoilés issus de son désormais fameux ordinateur portable, il apparaît que Hunter a donné « 50% » des gains de ses activités à son père. Tout indique, grâce au témoignage direct de Tony Bobulinski devant une audience nationale, que Joe était d’accord pour que les ChiComs (communistes chinois) utilisent son fils afin que le « patron » puisse rapporter la galette à la maison pour lui-même et son camp — ses frères et sœurs, ses épouses et les futures générations. Pendant ce temps-là, Hunter sombrait dans une vie de débauche et de toxicomanie, qui risquait de faire chuter le candidat démocrate à la présidence des Etats Unis.

Après le voyage de 2013, les Biden ont quitté Pékin propriétaires de 30% du milliard et demi d’un fonds d’investissement. Ils nont rien offert aux Chinois en contrepartie, à part leurs services de lobbying et leurs carnets d’adresses.

Le Bohai Harvest RST (Shanghai) Equity Investment Fund Management Co., Ltd. (BHR) n’était pas un fonds d’investissement légal au sens classique du terme, créé pour dégager un retour sur investissement par des moyens légaux. La société a été créée comme un outil pour les ambitions impérialistes économiques du PCC, en utilisant le nom des Biden, et dautres dans leur orbite, pour établir la domination commerciale chinoise. Le retour sur investissement n’était pas financier, il était politique, et Joe Biden était le rouage pour atteindre ces ambitions.

BHR a été créé et financée par deux fonds dinvestissements chinois appartenant à la Banque de Chine (Bohai Capital et Harvest Global). Comme décrit dans leur présentation marketing : « BHR est tenue en haute estime par les instances gouvernementales chinoises et à tous les niveaux des entreprises d’Etat. Durant la fameuse visite à Pékin de 2013, la nouvelle entreprise des Biden dont Hunter était associé, Rosemont Seneca Thornton (RST), a signé le contrat leur permettant de repartir avec environ 30% des parts de lentreprise après linjection dun capital de 1,5 milliard de dollars dans BHR par leur partenaires chinois.

RST s’est créée à partir de la fusion entre Rosemont Seneca Partners et Thornton, un cabinet de conseil en investissements dirigée par James Bulger, de la fameuse famille bostonienne (fils de William « Billy » Bulger, longtemps président du sénat du Massachusetts et neveu de James « Whitey » Bulger, l’infâme mafieux qui dirigeait le gang de Winter Hill). Rosemont Seneca a vu le jour en 2009 en tant que fonds d’investissement et cabinet de conseil, cofondé par Hunter Biden et Christopher Heinz, de la riche famille des ketchup Heinz et beau-fils du sénateur Démocrate de longue date et secrétaire d’Etat John Kerry, et par leur ami Devon Archer qui était le colocataire de Chris Heinz à Yale. L’investisseur originel de Rosemont Seneca (qui à un moment a déclaré gérer 2,4 milliards de dollars dactifs) était Rosemont Capital, un bureau alternatif dinvestissement de la famille Heinz, nommée d’après Rosemont, la propriété de la famille Heinz près de Pittsburg. Durant l’année pendant laquelle le partenariat dinvestissement international et lactivité de « conseil » ont été les plus florissants, il est important de noter que Joe Biden était vice-président et John Kerry était secrétaire dEtat. Ce n’est pas par hasard que le quartier général de Rosemont Seneca se situait à Washington, alors la plupart de ses concurrents avaient maintenu leurs bureaux à New York, près de Wall Street où étaient les investisseurs professionnels.

A la fin de 2013, Chris Heinz commençait à s’inquiéter des activités du partenariat Rosemont Seneca à l’international, et des lieux géographiques dans lesquels ils engageaient leurs activités commerciales (lieux tels que l’Ukraine où Heinz était particulièrement frileux à cause l’instabilité du pays et des liens avec Poutine, mais aussi la Russie, le Kazakhstan et la Chine). Selon un email échangé entre Archer et un autre partenaire extérieur, Jason Galanis, ils ont proposé de mettre en avant le nom Biden et de réduire la présence de Heinz dans leurs supports marketing (et par extension, le marketing de leurs liens avec le secrétaire d Etat Kerry).

Ils ont appelé cette charnière l« Opération Ketchup » dans laquelle Heinz serait « effacé » et « Hunts à partir de maintenant ». Comme la dit Archer, « Chris est beaucoup plus sensible au risque. » Hunter travaillera si nous avons également besoin de lui ». Cinq jours plus tard, les emails échangés entre eux (d’Archer à Galanis) nous offrent cet aveu « On fait monter les Biden et on lâche la grappe à Heinz… Je ne veux pas énerver Hunter en ne le représentant pas et je ne veux mettre Heinz en rogne en utilisant son nom sans autorisation. (Heinz a disparu de toutes les bios, correct ?) ».

En 2015, Heinz sest totalement désengagé de toutes activités liées à Rosemont Seneca.

D’après un compte-rendu dun autre partenaire daffaires, Bevan Cooney, qui durant son séjour en prison en septembre 2020 a échangé et partagé ses emails avec le journaliste dinvestigation Matthew Tyrmand (co-auteur de cet article), le fameux accord du BHR a été signé en présence de lambassadeur Max Baucus dans son bureau de lambassade américaine à Pékin. Baucus, ancien sénateur Démocrate du Montana par six fois et nommé par Obama à la tête de la diplomatie en Chine, et qui a côtoyé pendant longtemps Biden senior et Kerry, en travaillant ensemble au Sénat. Baucus était aussi lié à Devon Archer en tant que camarade du Montana.

L’accord initial de BHR, et l’impulsion qui a présidé à sa création, du moins de ce que l’on peut en voir, était un projet unique. L’entreprise co-investirait via un accord équitable dans une filiale appartenant entièrement à Sinopec, la société énergétique et chimique chinoise détenue par l’État, qui pèse plus de 60 milliards de dollars, puis commercialiserait ses parts à l’Ouest via Sinopec Marketing, société possédant des parts dans le capital du conglomérat géant de l’énergie centré sur le segment de la distribution parmi ses nombreux secteurs d’activité (stations-service et magasins de proximité). Les conditions étaient que le RST recevrait 1,68 % du capital dans la nouvelle société issue de la scission, ce qui en ferait le septième plus gros investisseur extérieur dans cette entreprise détenue par l’Etat communiste chinois (le gouvernement conserve 70 % des parts). BHR investissait 1,7 milliard de dollars.

BHR a ensuite procédé à une tournée internationale, vendant le nom de Biden et ses connections à travers les marchés financiers des pays développés occidentaux afin d’aider Sinopec et les hommes d’affaires liés au PCC chez BHR à acquérir réseau stratégique, sources de capitaux et d’accès de l’Occident, matières premières et influences à l’étranger. Bien entendu, étant donné le poids de l’économie chinoise et les réserves nationales issues de leur gestion du liquide et des affaires depuis tant d’années, ils nont pas vraiment pas besoin de capitaux. La Banque de Chine à elle seule a accès à des millions de milliards de dollars et le capital des bilans des autres sociétés d’Etat pourrait, si elles voulaient, fournir des montants insoupçonnés dautres capitaux, si nécessaire.

Dans le support marketing de l’accord, « l’injection de capitaux sociaux et privés » est citée comme une raison principale de pouvoir obtenir les capitaux en liquide. C’était en fait un capital politique qui était recherché par cette opération. Ils ont cependant communiqué (dans la présentation marketing de Sinopec) leur intérêt à « parvenir à améliorer la gouvernance dentreprise, lefficacité opérationnelle et les mesures d’incitation à une gestion efficace ».

Mais le capital politique quils étaient en train de construire était dirigé au centre des pouvoirs politiques d’Occident grâce auxquels ils pourraient faire du lobbying pour leur agenda sur le long terme et accéder à des opportunités d’acquisitions stratégiques quils pourraient faire afin de poursuivre leurs objectifs économiques impérialistes. Les relations étrangères stratégiques qui pourraient être construites avec laide des Biden et de membres de leur réseau international (voir photo dessous), pourraient être utilisées en cours de route.

Qui était-il important de mettre en lumière dans le schéma marketing du « réseau international », en plus de Hunter Biden, le mandataire de « Lunch Bucket Joe » [Joe parti de rien ?] ? Bien sûr, Devon Archer, lassocié de Hunter (et ancien associé de Chris Heinz), qui apparaît de plus en plus comme ayant été le meneur dans la planification de laffaire et dans l’exécution de l’opération (et le cerveau de l« opération ketchup », voir plus haut) par le biais des correspondances dans tout le gang. Archer se rétribue lui-même en tant que « conseiller principal de la campagne présidentielle de John Kerry en 2004 » et en tant que « directeur indépendant du fonds souverain du Kazakhstan ». Jason Sugarman, un autre associé du groupe, a eu de multiples ennuis avec la loi causés par des irrégularités à la Banque de Californie où son frère était PDG et qui a été impliqué dans le frauduleux pacte tribal qui a impliqué de multiples partenaires et affiliés de cercles d’affaires (Jason et John Galanis, Bevan Cooney et Devon Archer). James Bulger, le susmentionné neveu de Whitey Bulger, caïd du gang de Boston, qui est « le président de Thornton activement impliqué dans l’accord sinoaméricain concernant les secteurs de l’énergie et des infrastructures », deux secteurs dans lesquels la capacité à faire des affaires avec des despotes ou ceux qui pourraient accorder, avec des magouilles à grande échelle, des contrats publics, était une condition absolument nécessaire. Paul Sohn, était un ancien gestionnaire de portefeuille au Soros Fund Management. Sir Anthony Jilliffe, était lancien lord-maire de Londres et « le conseiller principal de nombreux gouvernements de provinces chinoises ». Deux ressortissants chinois étaient impliqués, le premier était Yuji Zhao, gestionnaire dinvestissement et « expert en management et en réforme d’entreprises d’Etat (SOE) ». En Chine, la gestion de SOE est la chasse gardée de ceux qui évoluent dans les hautes sphères du PCC, car ils sont nommés par les politiques. Le second, Zhixiang Hua, est un ancien cadre de plusieurs entreprises dont HNA Group. HNA est l’un des plus gros des conglomérats diversifiés en connexion avec le PCC, avec 70 000 salariés et des investissements multi-secteurs à travers le globe. Le HNA est aussi une poubelle pour les services de renseignement chinois lorsque le PCC lutilise pour entraîner ses agents pour les lance sur le champ de bataille à la conquête du marché capitaliste international du XXIe siècle. C’est un groupe impressionnant, si l’objectif est le trafic d’influence mondial et l’engagement dans un impérialisme économique au nom du PCC.

Ce modèle d’impérialisme économique, son fonctionnement et ses objectifs, sont particulièrement observables avec le cas de lentreprise de télécommunication chinoise Huawei. Huawei est lexemple le plus criant illustrant ces objectifs et à quel point elle est profondément subdivisée par lEtat chinois (comprenez PCC) pour innover plus vite et vendre moins cher les infrastructures du réseau 5G nécessaires à la course aux armements mondiale actuelle et particulièrement dans les économies développées à l’Ouest. Quel est lobjectif politique pour lequel lavantage économique à court terme est sacrifié dans ce cas ? Pour se créer une entrée dérobée dans le réseau de communication de lOuest à partir de laquelle ils pourraient collecter des renseignements.

En 2015, un exemple de la mise en place de ce modèle par l’équipe de BHR sest déroulé avec lacquisition de Henniges Automotive par Aviation Industry Corporation (AVIC), fournisseur de la Défense chinoise déjà sanctionné. Henniges est une entreprise industrielle à double emploi et sa vente à AVIC et BHR a été facilitée par la famille Biden et leurs associés. La vente a été approuvée par le Comité pour linvestissement à l’étranger (Committee of Foreign Investment in the U.S. — CFIUS), qui est un organe politique du Congrès américain.

Cet accord rappelle celui du fameux Uranium One, dans lequel cette entreprise basée au Canada possédant des intérêts miniers dans les mines d’uranium américaines à l’est du pays, a réussi à obtenir l’approbation de la secrétaire d’Etat Hillary Clinton pour opérer le changement de contrôle d’un atout stratégique (la matière première nécessaire aux armes nucléaires), en autorisant la vente (sans cession forcée à un acteur adverse hostile ou non, chose qu’aurait pu imposer le Département d’Etat) à la problématique entreprise nucléaire russe Rosatom. Ces deux décisions nécessitaient un montant d’entrée et l’approbation des plus hautes autorités politiques américaines concernant notre intérêt national relevant de la sécurité et de la politique étrangère.

Le fait que le CFIUS ait approuvé l’affaire est alarmant, étant donné que Henniges possède de nombreuses installations aux Etats-Unis qui sont maintenant contrôlées par une entreprise chinoise d’armement, écrit Breitbart.

En complément de l’activité dans laquelle les partenaires et associés de Rosemont Seneca étaient engagés avec les Chinois et celles liées au PCC, dont une infime partie est décrite ci-dessus, ils étaient aussi profondément engagés sur d’autres fronts commerciaux pour le moins peu recommandables. Bien sûr, il existe l’activité bien étudiée et vérifiée de Biden et Archer en tant que membres du conseil d’administration de la société ukrainienne pétrolière et gazière Burisma (Peter Schweizer a écrit un livre à ce sujet)

Les emails de Bevan Cooney ont aussi mis en lumière que Biden, Archer et Galanis étaient des partenaires de l’oligarque russe liée à la pègre Yelena Baturina. Fin 2013 et début 2014, elle les a engagés pour l’aider à ouvrir un compte bancaire et un compte de courtage aux Etats-Unis grâce leur filiale, la société de courtage en valeurs mobilières Burnham Securities (filiale de Burnham Financial Group qui contrôle aussi Burnham Asset Management dans laquelle Hunter Biden a été vice-président) et J.P. Morgan, courtier principal et organisme de compensation de Burnham, qui en tant que tels devaient aussi l’approuver comme cliente. Cela a été une sérieuse collusion avec la Russie qui aurait à coup sûr intéressé le Conseil spécial Mueller. Ou peut-être pas, puisque cela s’est déroulé dans le cercle des dirigeants Démocrates et n’a rien à voir avec l’actuel commandant en chef.

Selon le procès-verbal de la réunion d’août 2014 du conseil du groupe d’entreprises de la Burnham Financial : « M. Archer (membre du conseil) a de nouveau discuté de la vente éventuelle de son entreprise et des revenus qui pourraient en découler, qui seront, selon lui, une pluie de liquidité pour lui, et de ses connections avec Bohai, qu’il disait être sponsorisée par de grandes banques et des investisseurs institutionnels chinois. Il a aussi évoqué ses relations avec Yelena Baturina (femme de l’ancien maire de Moscou), et le fait qu’elle ait investi plus de 200 millions de dollars dans ses divers fonds d’investissements .»

Nous avons donc la Russie, la Chine et l’Ukraine comme lieux où cette équipe faisait des affaires entre 2013 et 2016 pendant que Papa Joe était vice-président et que John Kerry dirigeait le département d’Etat. Nous pouvons aussi ajouter à la liste le Kazakhstan. Autre kleptocratie de l’ère postsoviétique stalinienne, le Kazakhstan possède beaucoup de ressources détenues par une riche oligarchie dirigée d’une main de fer par Nursultan Nazerbayev, un allié proche de Poutine et même un modèle pour « Vlad le revancheur », étant donné sa tendance à s’accrocher au pouvoir depuis 1989 et jusqu’à sa « retraite » lannée dernière (une abdication hautement contestée de par son poste actuel toujours dans le gouvernement en tant que président du Conseil de sécurité). Le Kazakhstan, dirigé par Nazarbayev, réel homme fort kleptocratique s’il en est, était le parfait client à qui vendre l’influence et participer à l’exploitation des ressources au nom des pratiques commerciales concurrentielles de l’Occident. En février 2014, Archer s’est vanté d’avoir escorté le ministre des Affaires étrangères kazakh dans Washington, chose qui aurait normalement nécessité un enregistrement (FARA, Loi sur lenregistrement des agents étrangers) pour divulguer une pratique de lobbying. Ces divulgations obligatoires nont jamais été déposées par quiconque dans partenariat Biden-Archer-Heinz, ni par aucun de leurs associés ou affiliés. Durant la réunion du conseil de Burnham en 2014, Archer a déclaré à la fin que « il allait rencontrer des banquiers impliqués dans le fonds souverain kazakh pour explorer des possibilités d’investissement ». Curieusement, gardez en tête que dans la dispositive (ci-dessus) de la présentation marketing de BHR, Archer été présenté dans sa bio comme étant un « directeur indépendant du Fonds souverain du Kazakhstan ». Archer était certainement en train de considérer le Kazakhstan comme une nouvelle opportunité de terrain de jeu sur lequel pratiquer des affaires à la sauce Rosemont Seneca.

Pour conclure, nous sommes face à une famille politique très puissante issue du parti Démocrate et de l’administration Obama, vendant son influence à travers le monde en vue d’un enrichissement personnel. En réalité, les Biden étaient en train de vendre le peuple américain à nos adversaires pour l’accumulation de richesses personnelles et dans le même temps permettant à des acteurs hostiles de faire des profits à nos dépens. Dans le cas de la Chine, les Biden l’a aidée à mettre en place son plan à long terme pour conquérir lOccident au travers d’un impérialisme économique, qui est la phase entreprise actuellement pour mener à bien ses ambitions d’hégémonie.

La Chine veut à tout prix contrôler le monde. Sa censure, son agression militaire dans le sud de la Mer de Chine, le projet de Nouvelle route de la soie, qui utilise la dette comme une arme pour gagner des infrastructures et des matières premières à travers le monde, sont tous au programme de leur agenda.

Les protégés de Mao ont vu dans les Biden l’occasion parfaite d’affaiblir et d’exploiter l’entité souveraine du monde libre, les Etats-Unis, et d’utiliser le pouvoir politique américain à leurs fins pernicieuses par une tentative d’usurpation à travers des moyens commerciaux.

Les « partenaires » ukrainiens, russes et kazakhs des Biden et de leur équipe ont aussi engagé cette équipe à leurs fins propres. Pour certains la motivation était la vénalité et la corruption financière, pour d’autres elle était politique. La scène est prête sans aucune doute pour d’autres histoires qui surgiront là ou ailleurs.

La seule constante remarquable à glaner au travers de toutes ces activités intéressées est que Joe Biden, « le patron » et « mon président » selon les propres communications de Hunter récemment dévoilées, était bien trop heureux d’obliger et d’aider de toutes les manières possibles, et de remplir ses poches comme nous l’avons vu dans la panoplie de preuves récentes, et cela peu importe le tort causé à son fils, au peuple américain ou au monde libre occidental.

Matthew Tyrmand est un journaliste d’investigation qui a récemment mis au jour les emails de Bevan Cooney, l’ancien partenaire d’affaires de Biden et d’Archer. Il a de fracassantes histoires sur la Chine, la Russie et le Kazakhstan tirées de cette mine de preuves légitimes à première vue, provenant de son travail en étroite collaboration avec Peter Schweizer et Seamus Bruner.

– Source : Joe & Co Didn’t Just Sell Out America, They Sold Out The Whole Free World
– Une traduction du « Média en 4-4-2 »

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