Santé

Effets secondaires et risques génétiques : Alexandra Henrion-Caude et Nicole Delépine appellent à la suspension des vaccins à ARNm

Dans une lettre ouverte adressée au Président Emmanuel Macron, au Premier ministre François Bayrou, à la ministre Caroline Vautrin, et au ministre Yannick Neuder, un groupe international de professionnels qualifiés et de politiciens, réunis sous l'égide de North Group, exprime de graves préoccupations concernant les vaccins à ARNm modifiés contre le COVID-19. Ce groupe appelle à la suspension immédiate de ces vaccins, citant des raisons de sécurité et de qualité.

mise à jour le 01/03/25

Dans une lettre ouverte, le North Group alerte sur la dangerosité des vaccins à ARNm et réclame leur arrêt immédiat.

Principales préoccupations :

1. Inefficacité à stopper la transmission du COVID-19 :
Les vaccins à ARNm n’ont jamais été testés pour leur capacité à bloquer la transmission virale. Selon le North Group, cette information a été mal communiquée, induisant les populations en erreur et les contraignant à accepter ces produits.

2. Effets secondaires et décès sans précédent :
Des analyses de données publiques montrent un niveau alarmant d’effets secondaires et de décès signalés, comparant cela à une « loterie » en termes de risques encourus par les individus vaccinés.

3. Contamination par de l’ADN bactérien :
Plusieurs scientifiques indépendants ont détecté des niveaux élevés et variables d’ADN plasmidique résiduel dans les vaccins Pfizer et Moderna. Cet ADN étranger, résultant du processus de fabrication, pourrait potentiellement endommager l’ADN humain, entraînant des risques d’instabilité génomique, de cancer, et d’autres conditions graves.

Demandes du North Group :

Le groupe demande :
– L’arrêt immédiat de l’utilisation des vaccins à ARNm et le rappel des produits
– Une enquête indépendante et transparente sur l’approbation et l’utilisation de ces vaccins
– Des preuves scientifiques démontrant l’absence de risque de dommage à l’ADN humain

Questions posées aux autorités

Le groupe interroge également les autorités sur les mesures nécessaires pour mettre en place une enquête publique et judiciaire indépendante sur les processus réglementaires ayant conduit à l’approbation de ces vaccins. Ils demandent également si des recherches peuvent être initiées pour étudier les liens potentiels entre les vaccins à ARNm et des conditions graves telles que le cancer, l’infertilité, ou d’autres maladies aiguës, chroniques et génétiques.

Cette lettre ouverte, accompagnée d’un résumé scientifique, est disponible sur le site du North Group. Le groupe insiste sur l’urgence d’agir avant que d’autres vies ne soient mises en danger. Ils soulignent que tout changement positif commence par la reconnaissance des erreurs et appellent à une action immédiate pour protéger la santé publique.

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