Une Opération Sophistiquée
L’attaque de Beyrouth a été minutieusement planifiée. Des milliers de personnes ont été victimes d’explosions simultanées de leurs téléavertisseurs, suivies par des talkies-walkies 24 heures plus tard. Cette opération, attribuée à Israël, soulève des questions sur les complicités nécessaires pour une telle entreprise. Les services de renseignement israéliens auraient équipé les téléavertisseurs de charges explosives, démontrant une expertise technique impressionnante.
Les Complicités Occidentales
Alain Soral souligne que pour monter une opération de cette envergure, Israël n’a pas agi seul. Des complicités au sein de l’Occident collectif sont nécessaires pour court-circuiter des commandes et équiper les appareils de charges explosives. L’entreprise Bac Consulting, bien que se présentant comme un simple intermédiaire, est soupçonnée d’être une couverture pour les services de renseignement israéliens.
Une Éthique de Combat Remise en Question
Cette attaque remet en question l’éthique aristocratique du combat, évoquée par Alain Soral. Il compare cette opération à la trahison de David contre Goliath, où la mort à distance est privilégiée au détriment d’un combat à armes égales. Cette stratégie, selon lui, est devenue la norme occidentale, illustrée par des événements historiques comme les bombardements de Dresde et Hiroshima. Israël, avec son passé chargé en attaques terroristes sous faux drapeau, s’inscrit dans cette logique de combat déloyale.
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