Un blocus sous haute surveillance
Le blocus a commencé avec des barrages policiers impressionnants. Les agriculteurs, bloqués à Orveau, se retrouvent encerclés par des forces de l’ordre déployées en masse. Pierre-Guillaume Mercadal, présent sur place, décrit une situation tendue où les agriculteurs sont déterminés à faire entendre leur voix malgré les obstacles. Les forces de l’ordre, équipées de blindés et d’hélicoptères, surveillent chaque mouvement, rendant la situation encore plus explosive.
Des revendications simples mais cruciales
Les revendications des agriculteurs sont claires : simplification administrative, arrêt des contrôles excessifs, et sortie des accords de libre-échange qui les étouffent. Philippe Murer, cofondateur du Mouvement Politique Citoyen, appelle à un plan Marshall pour sauver l’agriculture française. Il dénonce l’inaction du gouvernement et la répression disproportionnée face à des citoyens en détresse.
Un appel à la mobilisation générale
Face à l’inaction du gouvernement, les agriculteurs appellent à une mobilisation générale. Ils invitent tous les Français, qu’ils soient artisans, industriels, ou simples citoyens, à les rejoindre dans leur lutte. Ils soulignent l’importance de cette mobilisation pour sauver l’agriculture française et, par extension, l’économie rurale du pays.
Lutte désespérante car il est évident que les fachos qui nous dirigent ne laisseront jamais les tracteurs qui puent entrer dans Paris ne serait-ce que pour des raisons de Crit’air… Oui mais non, les blindés qui protègent les blindés ont obtenu, eux, des dérogations, donc, camemberg comme on l’écrit dans le Sentier !